26.12.09

Penitence 09

La première condition est le regret des fautes ou repentir. Celui-ci implique de faire la distinction entre péché véniel et péché mortel.

* On nomme péché véniel un acte humain qui a été commis sans volonté délibérée de nuire (se mettre en colère suite à une pression intérieure...). Celui-ci n'implique pas la volonté de faire le mal, mais seulement les réactions naturelles non maitrisées.
* On nomme péché mortel un acte délibéré, c'est-à-dire qui suppose une préméditation avec intention soit de nuire à son prochain, soit de s'opposer aux commandements de Dieu.

Le péché contre l'Esprit est un péché mortel car il implique une volonté de servir de son plein gré le démon, ou de faire partie de son mouvement de révolte.
Les péchés capitaux sont à distinguer des péchés mortels, car la notion de péché capital n'a pas de rapport avec la gravité du péché.

La seconde condition est l'application de la pénitence, toujours destinée à réparer le mal qui a été fait lorsque c'est possible (par exemple la restitution immédiate d'un bien volé). C'est parfois, lorsque la réparation n'est plus possible (attitude insultante, par exemple) un acte symbolique témoignant de bonne volonté et marquant une réelle contrition (regret sincère) et une demande de la grâce de mieux orienter sa nature humaine vers le Bien.


Source : Wikipédia

3.12.09

Turiya


Le rêve a toujours exercé une fascination chez l'être humain en raison de deux questions fondamentales qu'il lui pose : son rapport au réel et son rapport à l'activité consciente éveillé (lire Pluralité des manifestations de la conscience et Questions fondamentales liées à la conscience).

D'autre part sa fonction reste une énigme et de nombreuses hypothèses sont actuellement à l'étude. Il a été prouvé qu'une personne humaine normalement constituée est obligée de rêver pendant son sommeil. La plupart du temps , beaucoup croient qu'il ne rêvent pas mais en réalité ils ne se souviennent plus de leur rêve.


Source wikipedia

1.12.09

Trimūrti





La Trimūrti est représentée soit par les dieux Brahmâ, Vichnou et Shiva assis ou debout côte à côte, soit par les têtes de ces trois divinités réunies en un seul corps. On peut aussi leur trouver associé leur parèdre, leur femme, symbolisant l'énergie, le mouvement, tandis qu'eux représentent la matière, l'inertie. Ainsi Lakshmi complète Vichnou (la prospérité, -Lakshmī, est conditionnée par la préservation), couple qui se trouve mutuellement complété par celui de la Shakti (soit, Pârvatî-Kâlî-Durgâ) et Shiva (l'énergie féminine complétant la matière masculine), et enfin par celui de Sarasvatî (la connaissance, -Sarasvati, étant nécessaire à la création) et de Brahmâ.

Source : Wikipédia